Législatives anticipées : Charles-Henri Gallois candidat dans la Nièvre !

COMME de nombreux Français, nous avons appris avec stupeur, dans la soirée du dimanche 9 juin la décision du président de la République de procéder à la dissolution de l’Assemblée nationale. Voilà vingt-sept ans qu’un président de la République n’avait plus utilisé cette prérogative constitutionnelle.

Autre record, la convocation des électeurs aux urnes les 30 juin et 7 juillet prochains intervient seulement vingt jours après cette dissolution, intervalle le plus court de toute la Ve République.

À la faveur de ces circonstances exceptionnelles, le président de Reprenons le contrôle !, Charles-Henri Gallois a été contacté par les représentants de l’Union nationale. Ceux-ci lui ont proposé de briguer la candidature à la députation dans la 1^re circonscription de la Nièvre, dont il est natif.

Alors que les périls que connaissent notre pays croissent de jour en jour, l’ex-majorité présidentielle démontre heure par heure qu’elle est dans l’incapacité de défendre les intérêts des Français et d’assurer à la France sa prospérité, voire son intégrité. Ces législatives sont un moment historique, l’occasion de mettre un coup d’arrêt à l’inconséquence de l’équipe gouvernementale et de paralyser, au plus vite, la présidence calamiteuse d’Emmanuel Macron.

Il est urgent, pour sauvegarder l’avenir de la France, que cette Union nationale soit la plus large possible, afin de contrecarrer un chef de l’État qui a oublié qu’il ne doit son mandat qu’à la volonté des Français.

C’est pourquoi Charles-Henri Gallois a accepté, à titre personnel, la proposition qui lui a été faite. Il concourra donc à la députation nationale sous l’investiture du Rassemblement national.

Il entamera donc, dès le lundi 17 juin, une campagne dans la Nièvre, face à la candidate sortante, Perrine Goulet, ancienne membre de la majorité présidentielle, et face à un candidat investi par la France insoumise, Brice Larèpe.